Cela fait plusieurs années que je m’intéresse de loin à la santé. Depuis que je suis devenue maman, je me documente de façon vive et engagée sur la santé. Que ce soit dans les textes de loi, dans les programmes politiques, sur internet, un aspect en particulier me choque : la focalisation sur la maladie et donc tous les aspects de la mise en place de la médecine, de l’offre de soin, la prévention.
Me vient alors naturellement une interrogation profonde : pourquoi se concentrer si fortement sur la maladie ? pourquoi pas, au contraire, se concentrer sur la bonne santé et se donner tous les moyens et toutes les clés d’une bonne santé ?
Il s’agit à ce moment d’une approche inverse à celle proposée en masse par la société, une approche positive, d’écoute de soi et de son corps, une attitude proche de soi. À l’échelle globale (et occidentale) c’est la peur qui règne, on nous parle de risques, de maladies, de soins médicaux et hospitalisés, de vaccination. L’approche est extérieure, déconnectée de la notion de “terrain”.
Vous découvrirez dans les articles de cette rubrique que ma sensibilité est pour une médecine holistique. Je partage aussi des sujets plus légers pour contribuer au bien-être dans la vie quotidienne.
Mâcher et saliver (on dit insaliver) consiste à écraser, broyer, décomposer les aliments avec les dents ou les gencives et les imbiber de salive. Ce processus permet au cerveau d’analyser ce qui entre dans le corps, de décomposer les amidons et de préparer les enzymes nécessaires dans l’estomac et les intestins.
Je vous parlais dernièrement du miam-ô-fruit et évoquais l’importance de la mastication. Cette semaine j’ai lu le livre de France Guillain Mastiquer, c’est la santé
Oeuvre d’art culinaire, plat photogénique, délice des yeux et orgasme papillaire, le Miam-ô-Fuit est l’un des composants d’une méthode plus globale de bonne santé, structurée par France Guillain. Découvrez la recette !
